Le blog de la Data Quality
Dans ce guide pratique, Data Enso vous donne 4 règles d’or pour une campagne d’appels à froid qui génère des résultats.
Les entreprises françaises ont massivement adopté le CRM, mais elles peinent toujours à en exploiter tout le potentiel. Elles sont en effet encore trop nombreuses à en faire un simple carnet de contacts, ou à l’alimenter de données de (très) mauvaise qualité, avec les conséquences que l’on connaît sur le business (voir notre article ici).
Le CRM en France : massivement adopté mais largement sous-exploité
Le marché français du CRM est en plein essor, porté notamment
Malgré l’évolution du paysage marketing marquée par la montée en puissance de LinkedIn, du marketing conversationnel et des solutions de visioconférence, l'email marketing reste un acteur majeur de la performance commerciale. Son efficacité dépend toutefois d'un facteur critique : la fiabilité des données.
En effet, les bases de données d'entreprise contiennent souvent entre 15 et 25 % d’entrées inutilisables en l’état (données incorrectes, incomplètes ou obsolètes).
Dans les opérations commerciales, la vérification des données de contact est souvent reléguée au second plan, lorsqu’elle n’est pas complètement oubliée. Résultat : les efforts de prospection et de nurturing se trouvent ainsi impactés par des données de contact inexactes ou obsolètes, avec des implications économiques et réputationnelles importantes (colis retournés, risque de spammer des prospects, faible délivrabilité des campagnes, etc.).
Dans cet article, Data Enso
Dans l'écrasante majorité des secteurs d'activité, l'email reste la donnée de contact centrale dans l'effort marketing. Travailler avec une base de données polluée par des adresses électroniques inexactes ou inexistantes, c'est partir avec un sérieux handicap en matière de compétitivité. Dans cet article, Data Enso explore l'importance de la vérification des emails, détaille les enjeux et conclut avec les avantages décisifs de cette pratique. Qu’est-ce que la vérificatio
Chaque minute, 48 heures de vidéo sont uploadées sur YouTube, 204 millions d’emails sont envoyés, 600 nouveaux sites web sont créés, 600 000 contenus sont partagés sur Facebook, plus de 100 000 tweets sont postés et plus de 2,4 millions de requêtes sont effectuées sur Google.
Dans ce déluge de données qui progresse à rythme exponentiel, il devient de plus en plus difficile d’extraire du sens et des informations utiles en suivant le processus traditionnel : collecte,